Lisa Dumaine
AUTRICE DE L’OMBRE ET DE LA LUMIÈRE,
DES MOTS POUR DIRE CE QUE
LE COEUR NE PEUT TAIRE

ENTRE POESIE, EMOTION ET INTROSPECTION, J’ECRIS POUR EXPLORER CE QUE LES SILENCES NE DISENT PAS. CE SITE EST MON ESPACE D’EXPRESSION : SIMPLE, SINCERE, VIVANT
GALERIE












REVUES
Plus noir que noir
Recueil de nouvelles : 12 exactement.
Sombres. Noires. Mais pas si noires que ça… Toujours très bien écrites.
Fascinantes au point qu’il est impossible de s’arrêter avant la fin.
On y retrouve d’anciens personnages — Victor Trenton de Cujo, des échos de Duma Key… King évoque ici le Covid, une période marquante de notre réalité, et y sème des touches de noir, et même de plus noir encore… Il mélange le réel et les ténèbres enfouies avec une maîtrise incomparable.
La plume de King est incroyable : tout ce symbolisme, ces lieux, ces personnages sombres, sensibles, et si parfaitement humains.
J’avais adoré adolescente Nuit noire, étoiles mortes — que je vous recommande vivement.
J’ai retrouvé ici cet ADN : des histoires plus ou moins courtes, mais toujours intenses, vibrantes et fascinantes.
Deux crapules pleines de talent
Une histoire intrigante et inspirante sur le talent et son origine…
Y a-t-il forcément quelque chose derrière ?
Quelque chose de plus ?
Une force mystique ?
La cinquième étape
Nouvelle courte, mais incroyablement forte et intense.
King traite ici de l’alcoolisme et de la cinquième étape des Alcooliques Anonymes : admettre ses erreurs.
Effrayant, non ?
Attendez la fin.
Willie le tordu
Une histoire qui dépeint la relation entre un jeune garçon et son grand-père au début du Covid.
« Tu veux de la mort ? Tiens, prends-en une bouchée. »
Le mauvais rêve de Danny Coughlin
Presque un roman. L’histoire est fascinante.
King nous parle ici de médiumnité.
Finn
La fin m’a véritablement marquée.
À lire absolument.
L’histoire d’un petit garçon poursuivi par la malchance…
Slide Inn Road
Un road trip familial surprenant.
Les voitures tiennent toujours une place plus ou moins importante chez King — et j’adore !
Écran rouge
Une satire des écrans, un meurtre, et un lien avec les extraterrestres.
J’ai été captivée.
Le spécialiste des turbulences
Avez-vous peur en avion ?
Pourquoi donc, si un expert se trouve à bord…
Nouvelle très mystérieuse.
Laurie
Peut-être ma préférée… avec la dernière
Un homme veuf et son lien avec un chien.
Très touchant.
Serpents à sonnette
On retrouve ici de vieux amis : Cujo, Duma Key.
Entre deuils, cauchemars, visites et visions.
Très juste. Comme toujours.
Les rêveurs
Le retour d’un vétéran du Vietnam, William Davis, et sa rencontre avec un scientifique.
J’adore ce personnage : il aime les feux de cheminée comme moi, ainsi que les mots… Debussy, Jung, les expériences sur le sommeil.
L’homme aux réponses
Une rencontre entre Phil et l’homme aux réponses.
Fascinant.
J’ai été profondément touchée par cette dernière nouvelle.
Je suis celle qui se pose tant de questions… et celle qui pense qu’il y a toujours pire.
J’en ai eu les larmes aux yeux à la fin.
Et cette dernière rentrée… oui. Juste oui.
Et le Postface !
Une merveille.
Merci, Stephen King.
« Ce sont les personnes les plus compatissantes et empathiques qui apprécient le plus les histoires d’horreur. Un paradoxe, certes, mais une réalité. Je pense que ce sont les gens sans imagination, incapables d’apprécier le côté sombre de la fiction, qui sont responsables des pires fléaux qui frappent le monde. »
Merci pour cette vérité.
« Il pense que certains traumatismes peuvent transcender même la mort. »
« Dieu a un sens de l'humour abominable. »
« Je me suis souvent demandé si les gens intelligents savaient réellement quelles réponses ils cherchaient dans l'existence. Peut-être qu'ils se promènent sur le tapis magique de leur égo, en faisant des suppositions souvent fausses. »
«C'est normal de désirer ce qu'on ne peut pas avoir. Il faut apprendre à vivre avec. »
« J'ai de la peine pour vous. Votre monde est un souffle de vie dans un univers rempli essentiellement de fenêtres closes »
« Y'a rien à redire dans l'ensemble, ils nous prennent pour des bouseux, mais c'est ce qu'on est, quand on y réfléchit. »
« Le monde est rempli de serpents à sonnettes.
Parfois, quand on marche dessus, ils ne mordent pas. Parfois, on les enjambe, et ils vous mordent quand meme. »
« Les bonnes nouvelles prennent la diligence, les mauvaises prennent l'avion. »
«N'oublie jamais que c'est pire pour d'autres »
«La plupart des gens se montrent raisonnables si on leur parle calmement et si on leur laisse une chance. »
«L'imagination est vorace, il faut la nourrir. »
« Elle songe que la foi est le fléau de l'intelligence. »
«L'esprit humain n'est pas uniquement un reptile venimeux qui parfois se mord lui-même, c'est aussi un ramasseur de déchets enthousiaste. »
« Au crépuscule, la réalité paraît plus floue. C'était vrai. Et quand vient la nuit, le mur entre le réel et un tout autre plan de l'existence peut disparaître totalement. »
« Vous vouliez peut-être une chose qu'on ne peut pas trouver. Peut-être que la créativité doit rester un mystère. »
«Le mariage repose sur la franchise, c'est un entrepôt rempli de secrets partagés. »
« Dans la vie comme dans la mort, la politique prend souvent le pas sur l'art. »
« Pour certaines personnes, c'est pire encore. On a fait de notre mieux avec ce qu'on nous a donné. »
« Le chagrin dort, mais ne meurt jamais. »
« J'ignore quel est le sens de l'univers. J'ai peut-être une petite idée.
Peut-être que vous aussi. Ou pas. Tout ce que je peux vous dire, c'est : méfiez-vous des rêves. Ils sont dangereux. J'ai pu m'en apercevoir. »
« Chacun a suffisamment à faire avec ses propres drames, sans se soucier en plus de ceux des autres »
« La lune est remplie de démons »
« Les gens intelligents souffrent d’un double désavantage : ils ne savent pas de quelles réponses ils ont besoin, et ils ne savent pas quelles questions poser. »
« (…) pour obtenir de bonnes réponses, il fallait avant tout poser de bonnes questions. »

La Cantatrice Silencieuse
J’ai passé un excellent moment avec La Cantatrice silencieuse, un roman où l’action se déroule dans le New York de 1895. Un homme meurt dans des circonstances troublantes. Sa veuve, seule contre tous, affirme qu’il a été assassiné. L’enquête sera menée par Eliot, un enquêteur peu commun, et Armand, son fidèle compagnon. Comme l’écrit l’auteur : « Quand tout semble terminé, il reste parfois une vérité qui a simplement échappé aux autres. »
L’écriture est fluide, agréable, et on se laisse embarquer sans difficulté dans une intrigue bien ficelée, avec un charme digne des enquêtes à la Sherlock Holmes.
On pourrait d’ailleurs très bien imaginer une suite, voire plusieurs.
Peut-être qu’un peu plus de profondeur à certains passages rendrait l’ensemble encore plus marquant, mais c’est une très belle lecture que je recommande vivement.
« Elle nous apparut timide et silencieuse, d’une présence presque effacée - comme si elle craignait de déranger le monde par sa seule existence. »
« Mon collègue et ami, Eliot Hastings, était plongé dans la lecture de son quotidien, parcourant les colonnes le regard vide à la recherche d’un sujet digne de son intérêt. »
« Il ne fit aucun commentaire sur le moment, préférant écouter attentivement chaque mot et relever chaque geste afin d’y assoir son opinion. »

Pour que l’amour nous répare
J’avais adoré le premier livre de Coralie, mais celui-ci m’a encore plus touchée.
Les deux personnages principaux, Gabrielle et Lucas, sont très attachants. On découvre au fil des pages leur relation, leur lien si particulier…
Gabrielle m’a véritablement bouleversée. C’est le genre de femme qui, semble-t-il, a tout pour être heureuse. Mais que veut dire « avoir tout pour être heureuse » ?
Gabrielle est lumineuse, solaire, toujours le sourire aux lèvres. Elle est talentueuse, littéraire, créative et, plus que tout, elle aime. Elle aime les autres plus qu’on ne l’aime, elle.
Tout comme Lucas, sapeur-pompier, qui a besoin d’aider les autres, de se sentir utile, d’être nécessaire. Car lui aussi aime les autres plus qu’il ne s’aime lui-même…
À la fin, j’ai versé ma petite larme.
Ce roman parle d’amour, de toutes les formes d’amour qui existent, et du fait que l’amour peut nous réparer. L’amour d’un homme, d’une femme, d’un enfant, d’un parent, d’une amie…
Il y a une petite touche de surnaturel, de fantastique, mais très bien amenée… presque réaliste. Pas de fausses notes. C’est très touchant, dramatique, romantique, mais profondément humain. Certains passages m’ont vraiment beaucoup émue.
L’amour est bien plus fort que la mort. L’amour est plus fort que tout.
Merci beaucoup pour ce deuxième roman, qui est tout simplement sublime. Je suis très heureuse d’avoir découvert Coralie l’année dernière, à la sortie de son premier roman, et de pouvoir continuer à lire ses mots, découvrir son univers et être touchée par les histoires qu’elle choisit de raconter.
« C’est là que je comprends : l’amour ne s’arrête pas vraiment. Il ne meurt jamais. Il change, il se transforme, il répare. Toujours. Il nous répare. »
« Parfois, pour être “plus”, il faut apprendre à avoir “moins”. »
« Maintenant… Je ne peux pas dire que je suis guéri, que la souffrance est définitivement partie et que j’ai réglé tous mes soucis. Non, la souffrance ne disparaît jamais quand tu perds quelqu’un que tu aimes. On l’apprivoise, on apprend à cohabiter avec, elle se fait plus discrète, elle devient à peu près supportable, jusqu’au jour qui fera plus mal que le précédent. Mais je vais mieux, c’est certain. »
« Tu vois la beauté dans les choses insignifiantes et tu apprends à danser, pieds nus, sous la pluie… Et quand la nuit tombe, quand le soleil s’efface à l’horizon, tu n’as plus peur. Parce que tu sais que c’est à cet instant précis que les étoiles apparaissent. C’est là, sur ce chemin, que je me trouve en ce moment. »
« Toutes les histoires ont leur histoire. »
« Que la gentillesse, c’est un bateau sans vent qui dérive mollement. Que l’amour, le vrai, celui dont j’ai rêvé, celui qui dépasse trois ans sans s’essouffler, c’est un putain d’ouragan. Qui arrache tout, bouleverse, blesse parfois, mais, au moins, fait sentir que l’on est vivant. »
« Apprendre à vous pardonner, c’est le premier pas dans votre quête du bonheur. Parce que si l’on n’avance pas, on stagne. »
« Il veut lui dire que le manque, il l’a apprivoisé depuis longtemps, et que ce n’est pas un cadeau. Toute sa vie, il avait vu des gens s’éloigner, des présences devenir des souvenirs. Toute sa vie, les gens sont partis. La vie a distribué beaucoup de citrons à Lucas. De gros citrons, bien acides. Mais elle lui a aussi donné un don presque magique, celui de transformer tous ces citrons en citronnade. »
« (…) dans la vie, les gens se divisent en deux catégories. D’un côté, ceux qui vivent heureux pour toujours, étrangers aux tragédies. De l’autre, ceux qui doivent chaque jour monter sur le ring, encaisser les coups du sort et se débattre pour attraper quelques miettes de bonheur. »
« Laisse-toi du temps. Il ne guérit pas tout, mais il te permettra de respirer sans souffrir à chaque souffle. »
« Et je ne suis pas d’accord avec la fin. Mourir, ce n’est pas la solution quand la vie devient insupportable.
– Quelle serait la solution, alors ?
– Trouver la personne qui rendrait la vie à peu près supportable. »

La très catastrophique visite du zoo
En quelques pages seulement, Joël Dicker réussit à nous faire rire, réfléchir, enquêter et même aimer.
Ce court roman, ludique et bourré de jeux de mots, cache derrière son humour une vraie profondeur. On y parle de liberté, de démocratie, de différences, et on s’interroge sur le monde et le rôle de chacun — le tout à travers les yeux de Joséphine, petite fille dite « spéciale », mais pourtant si drôle et attachante !
C’est une fable drôle et décalée, qui fait mouche. On y retrouve la patte de Dicker, mais avec un ton nouveau, parfois enfantin, et pourtant terriblement adulte.
Un petit bijou à lire en une après-midi. À ceux qui aiment les mots, l’intelligence légère et les clins d’œil malicieux à notre monde… ce livre est pour vous.
« Il paraît que l’enfer est pavé de bonnes intentions : ça veut dire qu’on croit faire quelque chose pour aider mais en réalité ça n’aide pas du tout. Il vaut mieux que chacun se mêle de ses affaires. »
« Au fond, les gens sont comme les étoiles : c’est en les regardant attentivement qu’on se rend compte à quel point ils brillent. »
« On vit dans un monde où les gens ont oublié de se tenir correctement. »
« Ils ne se rendent pas compte de la chance que nous avons de pouvoir tous être différents, ensemble. Car c’est la beauté de la démocratie. Et c’est même la définition de la liberté : pouvoir être soi-même parmi les autres. »
« Le titre du spectacle était Différents, ensemble. »
« - Les grands timides sont souvent ceux qui le cachent le mieux, a dit la dame. »
« - Quand un homme écrit une lettre à une femme, en général c’est une lettre d’amour. »
« Ça s’appelle faire profil bas. »
« Faire des amandes honorables. »

Tata
Je me suis profondément reconnue en Colette et en Agnès : deux femmes mystérieuses, tendres et lumineuses, portées par l’amour sous toutes ses formes.
Mais ce livre ne raconte pas seulement leurs histoires : d’autres vies se mêlent et s’entremêlent, formant un tissu délicat d’émotions, de secrets et de rencontres inattendues.
Entre deuils, blessures invisibles, joies discrètes et espoirs furtifs, une lumière douce traverse chaque page, offrant chaleur et réconfort.
Il nous rappelle que la famille ne se limite pas à ceux qui nous mettent au monde, mais à ceux qui nous aiment, nous soutiennent et restent à nos côtés, même dans les moments les plus difficiles.
Et cette phrase, qui me touche profondément : l’amour est plus fort que tout.
“Je suis tombée amoureuse me fois. Une fois, mais pour toujours.”
“Le bonheur se situe à différents endroits et niveaux dans une vie.”
« Je ne t’ai pas beaucoup vue, pas bien connue, mais ce n’est pas la peine de beaucoup voir les gens pour savoir qu’on les aime et qu’ils sont importants. Ce qui compte, c’est leur présence quand ils sont là. Pas le nombre de fois où on les voit.”
“Il ne m’a jamais dit je t’aime, ni parlé, ni embrassée. Je ne lui ai jamais dit je t’aime, ni parlé, ni embrassé. Les gens qui ne se parlent pas, ça existe partout. Et je crois que ça existe beaucoup”
“Elle m’avait répondu qu’elle n’avait jamais été mariée. Même que je lui avais demandé pour-quoi. Elle m’avait fait une drôle de réponse, genre pas besoin d’être mariée pour aimer...”
“Il n’y a rien de plus terrible que de perdre quelqu’un sans qu’il meure, juste parce qu’il est absent de lui-même.”
Il faut du temps à certains mots pour atteindre et pénétrer notre cerveau. Parfois quelques secondes, parfois quelques minutes, parfois des années. »
“Mais on ne refait pas ceux qu’on aime. Ou alors c’est qu’on ne les aime pas vraiment.”
“La vie aussi. On fait de notre vie ce qu’on a envie d’en faire, et on ignore qu’on la possède à l’infini. Jusqu’à la mort. Sauf si on est compositeur. Peintre. Sculpteur. Cinéaste. Écrivain. Chercheur d’or. Charlie Chaplin est là pour toujours”

ENVIE D'ECRIRE ? CE CLUB EST FAIT POUR TOI. ENVOIE TON TEXTE, ET CHAQUE MOIS, JE CHOISIRAI CINQ TEXTES À PUBLIER ICI-MEME.
LISA DUMAINE •
LE CLUB D'ÉCRITURE •
Thème en cours
PEUT ÊTRE OU PEUT ÊTRE PAS
Une réponse sera apportée à chacun de vos travaux
Savez vous ce que c'est de se coucher tard
En se réveillant fatiguer de se voir dans un miroir Parce que oui, la première chose que je vois, c'est mon regard.
Qui tente bien que mal de me faire passer un message d'espoir.
Car ce sommeil lui, me repousse dans mes cauchemar.
Voilà la raison de pourquoi je me couche si tard.
La journée, je remets mon masque pour divertir les roublards,
Puis ils me foudroient d'un œil plutôt hagard
Heureusement, j'ai ma protection de lascar
Qui me permet de ralentir le requiem bar
Les gens me voient et constatent un jeune bizarre
Sans savoir que j'observe leurs rictus noirs
Que je l'aime ce masque, il me laisse plonger dans le brouillard
Mais m'empêche de tomber dans le traquenard
Je préfère laisser mon cœur en retard
Ne pas connaître ces choses, en mettant ce masque, que devenir comme tout ces barbares
Alors bien que naïf, je me sens craintif de ce regard sournois, devoir mener mon combat
Ce combat qui ne commence qu'au réveil et se terminant le soir bien de trop tard
Le combat de la vie
Depuis toujours, Charlize savait que la vie ne serait pas facile. Orpheline depuis son plus jeune âge, elle avait grandi dans un foyer d’accueil, entouré d’enfant aussi perdu qu’elle. Chaque jour était une bataille : pour se faire une place, pour être entendue, pour ne pas sombrer dans le silence. A l’école, les moqueries était son quotidien. « Pauvre fille » , « elle n’a rien », « elle ne réussira jamais »… Ces mots, comme des flèches, la blessaient profondément. Mais Charlize avait appris à se relever, à transformer la douleur en force. Elle se battait pour ses rêves, pour prouver que son passé ne définirait pas son avenir. Un jour, alors qu’elle rentrait chez elle, elle croisa un vieil homme assis sur un banc. Il lui sourit et lui dit : « La vie est combat, mais chaque cicatrice est une victoire. N’oublie jamais que c’est dans la lutte que l’on devient plus fort. » Ces parole résonnèrent en elle comme une vérité profonde. Charlize décida alors de ne plus fuir ses combats, mais de les affronter. Elle travailla dur, étudia avec acharnement, et petit à petit, les portes s’ouvrirent. Elle trouva un emplois, se fit des amis sincères, et surtout, elle apprit à s’aimer. La vie n’avait pas changé, les obstacle étaient toujours là, mais Charlise avait changé. Elle avait compris que le combat ne s’arrête jamais, mais chaque victoire, aussi petite soit-elle, est une lumière dans l’obscurité. Et c’est ainsi que Charlise, malgré tout, continua à avancer, fière et déterminée, car elle savait que la vie est une combat… mais un combat qui vaut la peine d’être mené.
Illusion d'une vie
Illusion d'une vie d'un regard nu injecté de métal l'esprit transpercé de mille sabres contemplation d’un œil macabre pour un cœur pouvant être fatal une pâle lueur noyée dans la nuit épousant les ombres de cette trêve dessinant la clef de manière brève la naissance de l'instinct de survie tout le long d'une ligne de fuite qui me projette loin des ombres d'une vision d'un passé sombre pouvant plus en donner suite mon futur aux volutes moirées guetteurs nés au sein de l'éther posés sur des pilastres de verre bien au dessus d'un ciel pourpré le passé, le présent même mon futur forme ensemble un magma en collision née au sein même de ma propre césure ma vie devenue plus qu'une belle illusion.
Une danse contre la nuit
La vie est un combat, oui,
mais pas seulement un ring où l’on encaisse.
C’est une marche lente, parfois lourde,
où chaque pas dépose une trace,
où chaque blessure laisse une lumière.
On avance entouré des ombres
qu’on croyait avoir laissées derrière.
On trébuche, on tombe,
on croit ne plus pouvoir se relever.
Puis un souffle revient,
un battement, une voix, un regard,
et le cœur recommence à cogner
contre tout ce qui voulait le faire taire.
La vie est un combat,
mais c’est aussi une danse contre la nuit.
On frappe, on saigne, on pleure,
mais on crée, on aime, on espère.
Et parfois, dans le silence après la tempête,
on se surprend à sourire
simplement d’avoir survécu.
Rester Debout
La vie est un combat.
Point.
Tu te lèves, tu prends des coups,
tu encaisses, tu continues.
Personne ne vient t’épargner,
personne ne te porte.
Tu peux t’effondrer une minute,
mais pas une heure.
Le monde avance sans toi,
alors tu serres les dents
et tu marches.
Même fatigué.
Même cassé.
La victoire n’est pas de gagner.
C’est de rester debout.
MERCI AUX 22 PARTICIPANTS, MêME SI VOUS N’êTES PAS DANS LE CLASSEMENT, J’AI ADORé LIRE VOS EXELLENTS TRAVAUX SUR LE THEME : la vie est un combat



LISA, C'EST MOI !
Lisa est triste et secrète
Elle pleure seule dans le noir
Personne ne peut la voir
La pluie coule, ses yeux sont des fenêtres
Comme dans la chanson de Cat Stevens
Lisa est double, Lisa est trouble
Elle s’enfuie de ses rêves
Elle est forte mais frêle
Elle cache le bonheur dans un cri, s’oublie et se retrouve
Comme dans la chanson de Jeanne Mas
Lisa aime et n’aime pas
Dans ses yeux, tu y lisais ta vie autrefois
Tu existes un peu moins, semaine après mois
Sans ces yeux là , tu ne te vois pas
Comme dans la chanson de Goldman
Lisa rêve de partir, de vivre ailleurs
Tu peux imaginer le son de sa voix
Mais un jour c’est certain elle s’envolera
Elle regarde les oiseaux, s’accroche à leurs ailes
Comme dans la chanson de Francis Cabrel
Lisa veut la paix, faire ce qu’il lui plaît
Elle promet que tout ira bien demain
Il lui disait : « ne me promet pas, ne me promet rien »
Elle a un secret, elle croit que l’amour ne meurt jamais
Comme dans la chanson de Daniel Lavoie
Lisa s’égare, se fait du mal
Vole trop près du soleil, comme Icare
Lisa se fait du mal, elle ne s’aime pas
On l’observe mais on ne la voit pas
Comme dans la chanson de Dinaa
Lisa est triste, secrète, double et trouble.
Lisa aime et n’aime pas, rêve de partir de vivre ailleurs
Lisa veut la paix, faire ce qui lui plaît mais s’égare et se fait du mal
Lisa c’est moi, je suis toutes ces Lisa.